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Pourquoi se syndiquer ?

La force d’un syndicat :

  • c’est son nombre de syndiqués
  • c’est son indépendance

Pour défendre les revendications face à l’État, notre employeur, le syndicat ne saurait être lié ni soutenir, même de manière «critique» ou «constructive», un gouvernement ou un parti politique, quel qu’il soit !

Se syndiquer donne des droits:

  • Être informé et défendu en priorité en cas de besoin
  • Le contrôle par les élus du personnel du syndicat du déroulement de carrière (nominations, promotion, etc.)
  • La définition des orientations du syndicat et la participation aux prises de décisions (Assemblée Générale, élection du conseil syndical…)

La cotisation syndicale donne droit à un crédit d’impôt à hauteur de 66%

POURQUOI SE SYNDIQUER AU SNUDI-FO 57 ?

  • Au SNUDI, même si nous pouvons être passionnés pour la pédagogie, nous considérons que ce n’est pas au syndicat de se mêler de cet aspect.
  • Aujourd’hui, les tentatives se multiplient pour intégrer les organisations syndicales à la gestion de l’État (tables rondes, groupes de travail, commissions de suivi, observatoires de toutes sortes, etc.) ou pour chercher à les court-circuiter en faisant appel à une pseudo-démocratie directe, dite d’implication, dont les méthodes privilégiées (pseudoconsultations, référendum) s’apparentent au plébiscite. Force Ouvrière est attachée à de véritables négociations, sans préalable, sur la seule base des revendications des salariés.
  • La Cgt-Force Ouvrière entend rester fidèle à la Charte d’Amiens de 1906 qui affirme la nécessaire indépendance du syndicat vis à vis de l’État, du patronat, des partis politiques, des gouvernements et des Églises.
  • Une assurance juridique « vie professionnelle » MACIF est incluse dans votre adhésion : les adhérents des syndicats de l’enseignement FO sont protégés juridiquement dans l’exercice de leur fonction (face à leur employeur ou face à un tiers, parents par exemple) par un contrat passé entre la FNEC FP FO et la MACIF. En l’absence de solutions amiables, une suite judiciaire ou administrative peut être donnée. Dans ce cas, la MACIF prend en charge les frais de justice et honoraires engendrés par la saisine d’un l’avocat (sous certaines conditions). Cela évite donc de prendre une assurance auprès d’une autre société (l’Autonome de Solidarité-MAIF par exemple). Cette assurance professionnelle n’engendre aucun surcoût de cotisation.

Quelques-unes des positions et revendications du SNUDI-FO:

  •  Enseignement spécialisé : Création des postes et formation des maîtres spécialisés nécessaires (psychologues, maîtres E et G, CLIS, ULIS, SEGPA, classes de perf.), un statut pour les AVS.
  • Retraites : maintien du Code des pensions !
    Abrogation des contre-réformes de 2003, 2010 et 2012 imposant la décote et les 41,5 à 43 annuités pour une retraite à taux plein (retour aux 37,5 annuités pour tous).
  • Augmentation des salaires, rattrapage du pouvoir d’achat perdu, retour aux acquis des instituteurs (droit au logement et retraite à 55 ans). Transformation de la Hors classe en échelons accessibles à tous.
  • Direction d’école:
    -Non à la paperasserie et aux tâches qui dénaturent l’École publique !
    -Des décharges pour toutes les écoles et amélioration des décharges existantes !
    -Revalorisation indiciaire de la fonction
    -Un statut pour les EVS, dans toutes les écoles.
  • Défense et maintien de l’École Maternelle:
    – 25 élèves maximum par classe, 15 élèves en petite section,
    – Non aux fusions avec l’élémentaire
  • Formation initiale:
    – Non à la contre-réforme de la mastérisation ! Retour à une formation professionnelle initiale sous statut de fonctionnaire, recrutement à hauteur des besoins…
    – Maintien de la formation continue sur le temps de travail correspondant aux besoins exprimés par les collègues, sur la base du volontariat et de l’égalité de droit entre collègues (maintien du barème, pas de public désigné).
    – Non à l’obligation de M@gistère.
  • Maintien et développement d’un véritable service de santé scolaire (avec des personnels sous statut de fonctionnaire d’État) pour les élèves et les personnels.
  • Respect de l’indépendance pédagogique de chaque enseignant dans sa classe.
  • Respect des prérogatives de chaque maître en matière d’exigence de niveau.
  • Refus d’une pédagogie officielle et de toute obligation en matière de projets.
  • Carte scolaire:  Non au redéploiement et aux suppressions de postes, pas une classe à plus de 25 élèves
  • Maintien du cadre national et laïque de l’École Publique et du statut national de Fonctionnaire d’État:
    – Abandon de la réforme des Rythmes scolaires
    – Non à l’immixtion des élus locaux dans l’organisation du temps de travail des enseignants, abrogation des décrets Peillon et Hamon instaurant la primauté des PEDT sur le temps scolaire, non à la municipalisation de l’École.
    – Non à la dénationalisation-privatisation, non aux réseaux d’établissements autonomes avec statut juridique et chef d’établissement ayant pouvoir sur les enseignants.
    – Contre le clientélisme et l’arbitraire, maintien des nominations sur la base d’un barème identique pour tous, garantissant les droits de chacun : Non aux «vœux géographiques» obligatoires.